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Assemblée générale du syndicat Charolais de l’Eure.

C’est dans une ambiance particulière que le président du syndicat Charolais de l’Eure, Philippe Petit, a convié ses adhérents pour son assemblée générale retardée de quelques mois en raison de la pandémie.

© PIXABAY

Une vingtaine d’éleveurs a répondu présent à son invitation. Malgré les masques sur le visage, les éleveurs étaient tout de même heureux de se retrouver. Cette année, le lieu de rassemblement était à Boisemont au Pressoir d’or. Après un bref retour sur l’historique de l’implantation du verger, l’interlocutrice a détaillé la fabrication du cidre et du jus de pomme ainsi que les variétés utilisées. Une dégustation des produits de la ferme a clôturé la visite.

Le rapport d’activité a été l’occasion de souligner l’intérêt des commandes groupées réalisées deux fois par an. En effet, ces commandes permettent une économie de 15 à 30 % sur le prix des minéraux, ficelles, bâches et autres fournitures.

De plus, une commande de pieux de clôture d’acacia sera proposée en fin d’année. Le syndicat propose également des formations à ses adhérents. En février dernier, la vétérinaire Emmanuelle Voldoire avait réalisé une formation d’initiation à l’aromathérapie. L’assemblée générale s’est terminée par l’intervention de Carole Simon, l’animatrice du syndicat qui, après quelques constats sur l’élévation générale des températures moyennes a donné quelques pistes de réflexion pour adapter les systèmes fourrager des élevages au changement climatique. Après 3 années de sécheresse estivale marquée sur le département, ce phénomène récurrent pousse les éleveurs à rechercher des alternatives ou des compléments à la culture du maïs. Différentes cultures comme le sorgho plus résistant au stress hydrique sont en phase de test au sein de la cellule recherche et développement de la chambre d’agriculture de Normandie. Les résultats des différentes plateformes d’essais fourragers seront accessibles cet automne.

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